modyvan

tout ce chemin pour se dire je t'aime? oui, tu es mon amour, ma passion, sans épines, sans pine, car c'est moi qui l'ai (penser à vérifier quand même de temps en temps...)

réveillé d'un sommeil lourd par un rêve: psypsy me demandait d'écrire comment je sépare les choses dans ma vie alors j'ai été écrire dans ses chiottes il y a deux feuilles avec quelques lignes seulement sur chaque, mais je sens qu'il y a "tout" quand j'ai fini, je veux mettre un morceau de scotch entre les deux feuilles et les deux feuilles tombent dans l'eau des chiottes je rentre dans le bureau, les meubles ont changé de place je lui dis que ça me donne le vertige la disposition comme ça ben oui, ça fait ça quand on change la perspective, il me dit je lui tends les feuilles mouillées en lui précisant : c'est pas sale! je me suis réveillé avant de savoir si il réussissait à les lire et évidemment je ne sais pas ce que j'avais écrit

quand il chantait "voulez vous m'aimer" sur un quai dans Pierrot le Fou, ça me donnait de envie croire à la vie et au cinéma il en a tordu des mots, et c'était tellement beau lui c'était un beau clown

ça s'appelle "le vindicatif que vous avez demandé n'est pas en service actuellement" ça se passe beaucoup au téléphone les personnages s'appelent Louis et Dora parce que la première réplique sera: "allo Dora? je voudrais parler à Louis." après il y aura le sous titre : sur les sens deuxième réplique Louis : dis, Dora, quand est-ce que tu mets tes doubles en scène? Dora: dès que j'arriverai à me jeter à l'eau (il faudrait que ça aille aussi vite que des répliques des marx brothers) en images, ça sera assez épuisant à suivre, par exemple, sur la réplique "dis moi, Dora? il y aura à la suite et très vite: un bas une oie un dos un mouton (parce qu'il ne faudrait pas non plus que ça soit trop littéral) lis tes râles

I was dreaming of the past. And my heart was beating fast, I began to lose control, I began to lose control, I didn't mean to hurt you, I'm sorry that I made you cry, I didn't want to hurt you, I'm just a jealous guy, I was feeling insecure, You might not love me any more, I was shivering inside, I was shivering inside, I was trying to catch your eyes, Thought that you were trying to hide, I was swallowing my pain, I was swallowing my pain. john lennon

parce que misandre c'était un mot à toi et merde, là, c'était toi derrière le mot enfin y'avait les slogans habituels et pourtant pas une demoiselle, une lady oui, là je ne te cherchais pas... j'ai lu ton blog (l'autre) pour détruire ton image, te trouver conne, ordinaire, acâriatre, limitée, erronée, rabâcheuse, recycleuse j'en ai bouffé, bouffé et rebouffé, à la gerbe, pour te massacrer et les commentaires, et les sites des autres vinsissiens, à me persuader que c'était là que résidait ta vraie parole les mots gravés, gavés dans ma gueule, me répéter que tu avais trouvé "un amant pas chiant et performant", me convaincre que c'était ça qu'il te fallait pour correspondre avec ton image du monde, que le reste était pipeau, l'amour, ces conneries, les entiments-vaseline, que tu ne pouvais jamais avoir cru que j'étais "le bon" puisque j'étais le pas assez baisant, le pas assez grand-chose, que tu m'avais trompé sur toi pas assez con pour croire que c'était la vérité, mais trop dingue pour ne pas y revenir encore et encore, des shoots pour arriver à te haïr, et te lire pour t'oublier malade de ça je suis malade de ce que je ressens, ta présence presque tout le temps, et mes gueulantes dans le vide, tout mon carcan de fierté, et ne pas supporter qu'un autre arrive, qu'un autre te prenne, finalement qu'un autre ait le même traitement que moi sur ton blog, oui jaloux qu'on te pénetre oui, je voulais que tu viennes sur ce blog parce que ne plus te "suivre" sur 20six était insupportable, parce que te trouvant là, j'ai fait ce blog parce que klimt au cinéma avec toi, j'aurai caressé tes jambes, parce que c'est la dernière fois où je m'efforçais de croire qu'une petite fille pourrait te faire disparaître quand j'ai lu "il y a des hommes qui sont comme des gosses" aujourd'hui, je n'ai pas pensé que c'était particulièrement écrit pour moi mademoiselle toi, je déraille, tu n'es ni responsable ni coupable (la reprise du coupable de thiéfaine sur ton blog j'ai pris ça pour une trahison d'un truc à nous, miossec au moins je partage pas, je beugle tout seul en bagnole! dégueulasse!!!!) on ne te gomme pas avec des pillules (arrêté) ou avec une fillegentille (presque arrêté), encore moins en cherchant ta tête dans des blogs (à arrêter)

savoir apprécier les petites victoires: j'ai gagné sur mon insomnie la victoire est partielle, j'ai des gros yeux tout gonflés et il a fallu beaucoup de vin et puis j'ai une sale envie de chialer nerfs tombés "à voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit je finirai c'est fatal par m'endormir aussi" là vraiment oui, me voilà blogueur! la prochaine fois je raconte mon caca et puis aussi ce tic que j'ai de mettre mes crottes de nez sur une cigarette allumée et de regarder se former une petite bulle jaune / vert qui tombe de la clope comme une petite croûte toc

"depuis que je suis sur terre j'ai les yeux de ma mère et le reste de mon père et ça vaut mieux que le contraire moi je reste dans mon lit je bouge plus d'ici je veux pas être grand" Arno quand mon cerveau se dévisse, j'écoute les belges! merci les belges pour la torsion des mots, merci pour l'absurde et pour la dérision pas chic mais cash, lalala putain putain c'est vach'ment bien!!!

j'ai marché dans des rues brûlantes et tu n'y étais pas il y avait des italiens qui gueulaient à la terrasse des cafés parce d'autres iltaliens sur des grandes télés mettaient des buts à des blacks dans mes écouteurs, y'avait une chanson de bobby lapointe " où es tu fille du pêcheur, toi que j'appelais sirèrne, tu es reine de mon coeur, de mon coeur tu es la reine poum poum" il faudrait que j'aille monter cette pièce de théâtre et que je pense à le république

je te prends comme un homme mais tu ne comprends pas pourquoi je ne peux pas quand tu es au dessus j'ai envie de pleurer quand tu me dis que tu m'aimes parce que je te fais jouir grand babouin qui te prends et te remplis et pourtant c'est toi qui la première m'a dit que tu sentais quand elle était là tu m'as vu belle âme un tout petit instant je n'avais pas mon masque je ne te dirai pas ce qui se passe dans ma tête et je partirai dès que tu pourras le supporter tu l'as occulté un moment tu crois que tu peux être plus fort qu'elle mais non et c'est un compliment